La Fondation d’Entreprise L’Oréal

La beauté pour une vie meilleure : des partenariats solides, des bénéfices confirmés

Convaincue des bienfaits des soins de beauté et de bien-être pour les personnes en souffrance physique, psychique ou sociale, la Fondation L’Oréal développe l’accès aux soins de beauté et de bien-être pour des femmes en situation de vulnérabilité ou d’isolement.
Une nouvelle initiative a été lancée en 2019 en France, en partenariat avec Banlieue Santé : de septembre à décembre, un bus aménagé en cabine de soins de beauté et de bien-être s’est rendu dans des quartiers prioritaires ou en zone rurale pour permettre à plus de 850 femmes en situation de fragilité sociale, isolées géographiquement ou en recherche d’emploi, de bénéficier de ces soins.

La Fondation soutient également l’accès aux soins de beauté et de bien-être pour les personnes malades, en particulier celles touchées par le cancer.

Une étude réalisée en France en 2018 par l’institut Odoxa pour la Fondation L’Oréal auprès de 1 166 personnes atteintes de cancer a mis en évidence les bienfaits des soins de beauté et de bien-être sur leur qualité de vie : plus de 90 % des personnes ayant bénéficié de ces soins estiment en effet qu’ils ont été très importants pour se sentir mieux psychologiquement et physiquement, et reprendre confiance en soi.

Ces soins sont prodigués à l’hôpital ou dans des structures dédiées en ville par des socio-esthéticien(ne)s spécialement formé(e)s. Organisés individuellement ou sous forme d’ateliers collectifs, ces moments privilégiés associent aux soins de beauté (soin du visage, des mains ou des pieds, modelage, maquillage) des conseils techniques, une écoute et un moment de détente. Perçus comme de véritables bulles d’oxygène par les patients dont le corps est agressé par la maladie, les traitements ou la chirurgie, les soins de beauté et de bien-être permettent d’aider les personnes malades à aborder et mieux gérer les perturbations de l’image de soi.

À travers des partenariats noués dans le cadre hospitalier, associatif et avec des institutions scientifiques, la Fondation L’Oréal agit pour permettre un accès plus large à ces soins de beauté et de bien-être – seules 12 % des personnes atteintes d’un cancer en bénéficient aujourd’hui  – et professionnaliser la socio-esthétique appliquée à l’oncologie.

La Fondation L’Oréal s’est ainsi associée à des acteurs clés comme le CODES pour former des socio-esthéticien(ne)s, avec le réseau Unicancer pour développer l’accès aux soins d’onco-esthétique à l’hôpital, ou encore avec la Maison Rose, structure implantée dans le centre-ville de Bordeaux et depuis 2019 à Paris, qui accueille les patients et leurs aidants. Ces centres reçoivent gratuitement les femmes touchées par le cancer, pendant et après les traitements. Une démarche inédite déjà suivie par plus de 6 000 personnes à Bordeaux.

Au total, en 2019, en France, la Fondation L’Oréal a soutenu plus de 18 000 personnes en situation de vulnérabilité avec plus de 65 000 soins de beauté et de bien-être prodigués gratuitement.

« Pour les Femmes et la Science »

Lancé en 1998 en partenariat avec l’UNESCO, le programme « Pour les Femmes et la Science » agit en faveur d’une meilleure représentation des femmes dans la recherche scientifique, secteur où le plafond de verre demeure une réalité. Ce programme international est né d’une conviction : le monde a besoin de la science, et la science a besoin des femmes. Pour réduire les biais liés au genre dans le monde scientifique et promouvoir une recherche innovante et bénéfique pour toutes et tous, plus de 250 jeunes talents, doctorantes et post-doctorantes, sont accompagnées chaque année dans 118 pays, et cinq chercheuses éminentes, issues chacune d’un des cinq continents, sont récompensées pour l’excellence de leurs travaux scientifiques. Depuis 1998, plus de 3 400 femmes scientifiques ont ainsi été accompagnées et mises en lumière dans le monde.

En 2019, la Fondation L’Oréal et l’UNESCO ont choisi de renforcer leur engagement en faveur de toutes les femmes de science en ouvrant le Prix international (dédié une année sur deux aux sciences de la matière, alors qu’il était jusque-là axé sur la chimie et la physique) à deux nouveaux domaines de recherche : les mathématiques et les sciences informatiques. Ce sont deux disciplines où les femmes sont particulièrement sous-représentées : à titre d’exemple, seule une femme a été récompensée parmi les 141 lauréats honorés depuis la création des prix internationaux les plus prestigieux en mathématiques (Abel, Wolf et Fields).